L'expérience de Fox : une autre tentative vaine
Influencé par le scénario d'évolution de Miller, Sydney Fox mena des expériences au cours desquelles il combina différents acides aminés en molécules qu'il nomma "protéinoïdes". Cependant, ces chaînes d'acides aminés, qui ne servent à rien, ne ressemblaient en rien aux protéines habituelles présentes chez les êtres vivants. Ce n'était rien d'autre que des tâches chimiques irrégulières. De plus, on a expliqué que même si de telles molécules s'étaient formées durant les âges primaires, elles auraient finalement été détruites. ( S. W. Fox, K. Harada, G. Kramptiz, G. Mueller, "Chemical Origin of Cells", Chemical Engineering News, 22 juin 1970, p. 80 )
La preuve que les affirmations "d'organe vestigial" sont fausses
L'affirmation d'organe vestigial, dans les ****es évolutionnistes, a maintenant été abandonnée en face des découvertes scientifiques modernes. Les évolutionnistes affirmaient autrefois que des organes comme l'appendice, le semi-luminaris et le coccyx étaient des vestiges, simplement du fait qu'ils ne connaissaient pas les fonctions de ces organes. Dans les paroles du zoologiste évolutionniste S.R. Scadding : "Au fur et à mesure de l'augmentation de nos connaissances [en biologie] la liste des structures vestigiales a diminué." ( S. R. Scadding, "Do vestigial organs provide evidence for evolution?", Evolutionary Theory 5 : 173, 1981 )
Le dilemme de la transition de l'eau à la terre
Les êtres vivants, tellement complexes physiologiquement, sont divisés en groupes avec des barrières insurmontables entre eux. Des découvertes montrent que le scénario où un poisson sort de l'eau et se transforme en créature à quatre pattes n'est pas scientifique. Puisqu'un poisson ne peut survivre plus d'une minute ou deux hors de l'eau, tous les poissons quittant l'eau mourront en quelques minutes, un par un. Même si cette situation se poursuit pendant des millions d'années, elle ne changera pas. Les poissons mourront tous, car un organe aussi complexe que les poumons ne peut se former suite à un "accident" soudain via une mutation.
L'invalidité du scénario du "monde de l'ARN"
Les expériences ratées de Miller et Fox ont mené les évolutionnistes à chercher de nouveaux modèles expérimentaux. Ils en sont ainsi venus à théoriser que la vie commença avec des molécules d'ARN (une forme d'acide nucléique), capables de se copier elles-mêmes. Selon eux, dans le monde primordial, l'ARN pouvait se répliquer sans l'assistance de protéines et était capable de mener chaque étape de la synthèse protéinique. Mais sur les quadrillions de molécules d'ARN synthétisées artificiellement en laboratoire, aucune n'a montré de telles caractéristiques. La chimie a révélé que la thèse du "monde de l'ARN" est complètement impossible.
Les protéines défient le hasard
Les protéines constituent les briques de base de toutes les cellules vivantes et elles assument un grand nombre de fonctions dans celles-ci. Les protéines sont constituées d'un nombre et de variétés spécifiques de molécules d'acides aminés arrangées selon une séquence particulière. Cette séquence est tellement précise que si un seul acide aminé manque ou n'est pas à la bonne place, alors la protéine entière ne servira à rien. Par conséquent, chaque acide aminé doit être exactement à la bonne place, dans la séquence correcte. Il n'y aucune possibilité qu'une telle séquence survienne par hasard. Par exemple, la probabilité qu'apparaisse une protéine de 288 acides aminés de 12 types différents, ayant la bonne séquence, n'est que de 1 sur 10300 - en d'autres mots, pratiquement nulle (en mathématique, les probabilités inférieures à 1 sur 1050 sont considérées comme étant "0") Voir Emile Borel, Elements of the Theory of Probability, Prentice Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1965)
Le "flagelle bactérien" donne un coup fatal à l'évolution
Un autre exemple frappant de complexité irréductible est le flagelle, utilisé par certaines bactéries pour se déplacer dans leur environnement liquide. Cet organe est attaché à la membrane cellulaire de la bactérie, et la bactérie le bouge en rythme comme une nageoire pour se propulser dans la direction et à la vitesse qu'elle choisit. Cet organe fonctionne via un "moteur organique" très complexe, composé de quelques 240 protéines. Si la moindre partie du flagelle manque ou possède un défaut, la structure ne fonctionne pas. Le flagelle bactérien doit avoir fonctionné sans défaut depuis le moment où il est apparu. Cela prouve que la bactérie, comme tous les autres êtres vivants, a été créée dans sa globalité.
L'évolution ne peut expliquer l'information de l'ADN
L'information génétique déterminant le plan structurel d'une personne, depuis son apparence externe jusqu'à ses organes internes, est enregistré avec un système d'encodage spécial dans l'ADN. Pour écrire cette information génétique sur papier, il faudrait une librairie gigantesque comprenant environ 900 volumes de 500 pages chacun. Mais cette quantité incroyable d'information a été encodée dans notre ADN. Affirmer que l'information de la "librairie" de l'ADN humain soit apparue par hasard est aussi irrationnel que de croire que les cailloux jetés sur une plage par les vagues pourraient écrire l'histoire entière de l'humanité.
L’être humain a était perfectionner avec la plus grande justesse par DIEU le tout puissant, et il n’a laisser rien au hasard. Il nous a doté d’un esprit qu’on doit utiliser pour reconnaître le vrai du faux.
Pourquoi on laisse les autre nous manipuler par des propos injuste, nous humilier dans ce qui est le plus saint dans notre existence (notre source et notre création).
Les auteurs de ces théories se sont égarés non seulement des principes religieux, mais même des principes de base de la recherche scientifique. La preuve c’est que dés le début cette faux thèse a était réfuté.
Dieu le tout puissant a dit dans le CORAN :
Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous?"
Sourat 23 versets 115.
( ÃóÝóÍóÓöÈúÊõãú ÃóäøóãóÇ ÎóáóÞúäóÇßõãú ÚóÈóËðÇ æóÃóäøóßõãú ÅöáóíúäóÇ áóÇ ÊõÑúÌóÚõæäó ) ÇáãÄãäæä ÇáÂíÉ 115
Bookmarks